Toute procédure de divorce nécessite un avocat

Selon votre entente avec votre conjoint sur les modalités de votre séparation, vous avez le choix entre un divorce par consentement mutuel ou un divorce judiciaire. Dans tous les cas, chacun de vous doit engager son propre avocat.

Lors d’un divorce à l’amiable

Si vous optez pour cette procédure, les missions du professionnel consisteront à :

• Rédiger et vérifier la convention du divorce.
• Vous présenter et expliquer les risques liés à la procédure.
• Détailler les options qui s’offrent à vous et vous indiquer les solutions les plus adaptées.
• Vous donner des conseils éclairés sur les conséquences de la rupture de votre union.
• S’assurer que vos droits soient respectés.
• Vous représenter devant le notaire.
• Coordonner le divorce avec les autres acteurs.
• Vous assister et répondre à vos questions.

Lors d’un divorce contentieux

Ce type de divorce est un peu plus compliqué, car soit vous n’êtes pas d’accord avec votre partenaire sur les effets de votre séparation, soit vous ne vous entendez pas sur le fait de mettre fin à votre mariage. Quoi qu’il en soit, vous devez passer devant le juge. De ce fait, il est essentiel et primordial que vous ayez un avocat à vos côtés. Trouvez ainsi un expert compétent et spécialisé en droit de la famille sur ce site pour vous accompagner efficacement. L’expert a pour missions de :

• Accomplir les démarches administratives.
• Suivre votre dossier et vous informer des décisions du juge.
• Se charger de la rédaction des documents juridiques, tels que l’assignation, la requête du divorce, les plaidoiries, les conventions provisoires et définitives, les conclusions.
• Communiquer vos demandes à l’autre partie.
• Vous représenter devant le juge et avancer vos arguments, lors des audiences et d’autres actes juridiques, comme la conciliation ou les interventions orales.
• Mettre en place des mesures visant à vous protéger si besoin, comme demander une ordonnance de protection si vous subissez des violences conjugales et prévoyez d’entamer un divorce pour faute.
• Vous conseiller sur vos obligations, vos droits et les conséquences de votre séparation.
• Négocier et défendre vos intérêts.

Comment choisir votre avocat ?

Puisque l’avocat est un acteur clé dans votre divorce, veillez à bien le choisir pour être accompagné par un professionnel compétent et pour bien comprendre la procédure à adopter. Pour ce faire, vérifiez :

• Sa spécialisation : pour qu’il puisse assurer efficacement votre défense, il est préférable qu’il soit spécialisé en droit de la famille et en divorce. Il maîtrisera ainsi les complexités de la procédure et se battra pour vos intérêts.
• La confiance qu’il vous inspire : il est essentiel que vous vous sentiez à l’aise avec l’expert, car votre situation est délicate et vos émotions en effervescence. Cet aspect est également nécessaire pour que vous puissiez bien communiquer avec lui et en retour, il vous expliquera avec transparence les enjeux du divorce, vous soutiendra émotionnellement, tiendra compte de vos attentes et alignera sa stratégie en fonction de celles-ci.
• Sa réputation : misez sur un spécialiste ayant gagné en renommée, car cela garantit qu’il a une expérience solide et une connaissance approfondie des lois afin de défendre vos droits comme il se doit.
• Sa réactivité : puisque les termes et les actes juridiques peuvent être un mystère pour vous, un avocat réactif pourra répondre à vos questions et vous éclairer sur les sujets que vous ne comprenez pas. Il pourra aussi accélérer la procédure en gérant bien votre dossier, en vous tenant informé des avancements de votre affaire et en prenant les initiatives vous permettant d’obtenir un résultat favorable.

Avec un bon avocat, le stress que vous éprouverez tout au long de votre divorce sera réduit et vous aurez les conseils et l’expertise dont vous avez besoin.

Comment financer votre divorce ?

Un divorce est coûteux. En plus, s’il est contentieux, les frais à votre charge peuvent être élevés. C’est pourquoi il faut bien vous préparer financièrement avant de vous y lancer. Rassurez-vous, plusieurs solutions sont à votre disposition pour cela. En premier, il y a l’aide juridictionnelle. Elle peut vous être accordée, selon votre revenu fiscal de référence et du patrimoine. Ensuite, il existe des subventions liées à la séparation versées par les organismes, comme la Caisse d’Allocations Familiales ou le Centre Communal d’Action Sociale. Bien évidemment, vous avez aussi la possibilité de demander un prêt personnel auprès de votre banque.

Un contrat entre salarié et indépendant avec tous les avantages

Le portage salarial est une nouvelle forme d’embauche à la frontière du statut de salarié et d’indépendant. Il s’agit en fait d’un contrat dit de « tripartite ». En ce sens, il engage la responsabilité de trois personnes, notamment le salarié, l’employeur et le client.
Vous profitez de nombreux avantages en étant un salarié porté. Tel est le cas par exemple de la possibilité de gérer vous-même vos disponibilités en fonction de vos objectifs. Vous pouvez également vous exonérer de certaines obligations d’un travailleur autonome comme celle de déclarer l’activité. Vous aurez des pensions de retraite et même des congés payés. Mais en échange, vous devriez rendre des comptes à l’entreprise de portage. Cette dernière met tout de même sa réputation en jeux lorsqu’elle vous propose d’intervenir à sa place sur un chantier ou un autre.

Comment devenir un salarié porté ?

De plus en plus d’indépendant et/ou de chômeur optent désormais pour le portage salarial. Selon les sondages en effet, on gagne près de 60 % plus en étant ce genre de prestataire de service qu’en indépendant. Sans compter que prétendre à ce genre de poste est d’une simplicité enfantine. Il suffit de vous inscrire sur la plateforme de l’entreprise de portage.
Plusieurs domaines sont disponibles : artisan, consultance, numérique, etc. Toutefois, force est de constater qu’actuellement l’informatique et le web sont plus demandés. Référencement, création de site, intégration, etc. : les sociétés préfèrent sous-traiter à des salariés portés qui sont pour eux plus modiques et plus pratiques.
Un détail important, avant de terminer : les salariés portés doivent justifier de plusieurs années d’expériences dans leur domaine avant d’être acceptés par les réseaux de professionnels. Ces derniers sont soucieux de la réputation sur le marché.

Le statut « SASU » simplifie le développement de la société

Comparé à l’entrepreneur individuel, le fondateur d’une SASU a plus de facultés à développer ses activités. Comme il lui suffit de céder un pourcentage de ses actions pour laisser place à de nouveaux collaborateurs, il peut alors passer de SASU à SAS sans devoir modifier sa société. Une simple mise à jour de ses statuts suffira pour que l’organisation fonctionne à plusieurs associés. La simplicité des démarches constitue donc l’un des principaux avantages de la SASU.

La transmission d’une SASU se fait de manière plus aisée

La SASU se distingue des autres formes de société par la répartition de son capital en actions. Si le fondateur désire ainsi transmettre l’entreprise à une autre personne, notamment sa conjointe ou ses descendants, le partage des actions se fait de façon moins compliquée. Ce n’est par exemple pas le cas pour le partage d’un fonds de commerce : cela nécessite des procédures beaucoup plus complexes. Comme la cession d’action est régie par un régime fiscal allégé, les droits y afférents ne dépassent pas les 3 % du capital social.

Les formalités relatives à la gestion d’une SASU sont allégées

Toutes les formalités administratives et comptables rattachées à la gestion d’une SASU sont simplifiées. Aucune charge sociale n’est retenue par rapport aux dividendes perçus par le président, et l’ARE (Aide au retour à l’Emploi) est maintenu si ce dernier ne perçoit pas de salaire. Dans le cas où il est en cours d’indemnisation, il peut toujours continuer de jouir de ses allocations en intégralité, et ce, même s’il ne bénéficie d’aucune rémunération dans le cadre de ses fonctions.

La création d’une SASU en ligne, une solution rentable pour les jeunes entrepreneurs

Lancer sa SASU en ligne est une procédure qui allie rapidité, praticité, et efficacité. Comme de plus en plus de plateformes proposent la création de Société par Actions Simplifiée Unipersonnelle sur le web, les entrepreneurs se voient ainsi allégés dans le cadre de leur démarche. Le prestataire en charge de l’opération ne s’occupe pas seulement de la rédaction des statuts de l’entreprise, il se charge également de demander l’immatriculation auprès du greffe, et de publier la constitution de la société dans le Journal Officiel. Le gain de temps, la rapidité des procédures, ainsi que la commodité de la démarche sont ainsi les principaux avantages dont les entrepreneurs peuvent bénéficier s’ils décident de lancer la création de leur SASU sur internet.

Des inconvénients ?

Si vous comptez vous lancer seul dans un projet d’entrepreneuriat, la SASU présente beaucoup d’intérêt. Mais, cette forme juridique présente aussi quelques inconvénients qu’il convient de connaître. Par exemple, comparée à une EIRL ou encore à une entreprise individuelle, elle requiert plus de formalités administratives. Le dirigeant d’une SASU doit effectuer la rédaction de statuts de la société et de certains formulaires. Il doit également soumettre une publication de la création de son entreprise dans un journal légal. Enfin, pour toute décision qu’il souhaite prendre, il doit établir un PV à déposer au CFE.

Le cas du salarié négatif

C’est dur d’avoir une personne négative dans l’équipe. Il est toujours pessimiste et ne voit que de l’échec à tous les projets qui viennent de naître. Le négatif agressif n’est pas seulement pessimiste. Il généralise l’équipe et mène tout le monde dans la barque des « incapables ». Une réunion peut vite tourner à une dispute. Le négatif critique quant à lui se soucie toujours de la perfection et a peur que lui ainsi que l’équipe ne soient pas à la hauteur. Il faut le guider vers une dimension solution. Ne le contredisez pas. Laissez-le venir jusqu’au bout des problèmes qu’il cite. À la fin, demandez-lui simplement les solutions qu’il préconise pour ces problèmes. Valorisez ouvertement ses solutions tout en apportant des suggestions factuelles pour améliorer le rendement de l’équipe.

Le cas du salarié chronophage

Avez-vous déjà fait face à une personne chronophage qui demande démesurément une attention continuelle. Elle veut être au centre de chaque action, chaque débat, chaque projet. Le chronophage cherche toujours un avis, un conseil, une validation comme si vous n’avez rien à faire que l’assister. Ne venez toujours pas à son secours. Plus vous lui répondez, plus il vous sollicitera. Fixez-vous une durée courte lorsque vous allez parler avec un chronophage. Écoutez-le, soyez reconnaissant parce que c’est ce qu’il cherche toujours. Toutefois, ramenez-lui au centre du sujet, ne le laissez pas vaguer et posez des questions fermes nécessitant des réponses fermes. Une fois la durée écoulée, bouclez la conversation même si le sujet n’a pas été traité comme il faut. Vous essayerez la prochaine fois.