Oser donner ses prétentions

Comme parler de rémunération au cours de l’entretien d’embauche constitue un passage obligé. Il n’y a pas lieu d’en stresser mais plutôt d’en profiter comme d’une opportunité de se situer sur l’échelle de valeur professionnelle. Différentes sources conseillent de donner une fourchette de rémunérations, un seuil inférieur correspondant au minimum acceptable et un montant supérieur qui donnerait satisfaction. Ce raisonnement semble inadéquat car aucun recruteur ne propose spontanément un salaire supérieur au seuil minimum avancé. Par contre, être précis dans ses revendications, tout en laissant la possibilité d’ouverture à la négociation, donnera du candidat une image de maturité dans les propos. Aussi vaut-il mieux pousser le recruteur à indiquer la rémunération qu’il envisage pour le poste, par rapport à la grille salariale de son entreprise. S’il n’y consent pas, il sera temps de proposer le salaire souhaité en arguant de ses compétences et de ses apports potentiels.

Trouver le montant à exprimer

Pour le travailleur expérimenté qui change d’emploi, son ancienne rémunération constitue une référence facile à indiquer et à prouver. Il lui suffit de justifier l’écart par rapport à cette ancienne situation dans sa proposition. La difficulté s’impose surtout aux jeunes sortants qui débarquent sur le marché du travail et qui décrochent enfin un entretien d’embauche. A leur intention, il est conseillé de trouver des points de référence en effectuant des enquêtes et des recherches : par rapport à la personne, s’informer des salaires moyens des sortants de même niveau. Cela peut se faire auprès du réseau des anciens de l’Université d’origine. Par rapport au travail à réaliser, des recherches sur internet, des enquêtes auprès d’autres salariés et d’entreprises concurrentes, ou dans la documentation, vont fournir des informations sur le niveau de salaire habituel pour le type de poste, qui pourront servir de repère.

Vous gagnez en qualité et en conformité

Dans les affaires, il faut être capable d’anticiper les éventuelles difficultés afin d’adapter rapidement ses outils de travail aux réalités du marché. C’est là, en partie, toute l’importance du respect des normes qu’un fabricant de camion rôtisserie local (donc en France) maîtrise très bien. Grâce à cette connaissance des normes, une relation de confiance durable se met en place avec sa clientèle.

La conformité garant de la qualité

Un fabricant de camion rôtisserie français connaît les exigences réglementaires nationales et européennes : hygiène, évacuation des fumées, accessibilité ou homologation DREAL. Chaque aménagement est conçu pour réussir les contrôles administratifs. Ce haut niveau de conformité limite les pannes au moment de démarrer votre activité et une fois que celle-ci est lancée.

Les fabricants locaux et les organismes de contrôle

Les constructeurs nationaux connaissent les exigences des inspecteurs et adaptent leur camion en fonction de celles-ci. Leur expérience vous évite des problèmes lors des premières inspections sanitaires ou techniques.

Un constructeur étranger, en revanche, peut ignorer certaines obligations locales, ce qui entraîne des retards de mise en service ou des frais imprévus de remise aux normes. Dans le pire des cas, vous risquez de devoir refaire certains aménagements à vos frais.

Vous avez un vrai interlocuteur, pas juste un vendeur

Avec un fabricant local, vous bénéficiez d’un accompagnement personnalisé. Vous pouvez visiter les ateliers, rencontrer les équipes techniques et discuter des aménagements à faire pour que les installations dans le camion répondent à vos besoins. Le fabricant ne se limite pas à vendre un camion prêt à l’emploi : il construit un outil adapté à votre manière de travailler. Cette relation directe permet de mieux anticiper vos contraintes sur le terrain. Vous pouvez tester les équipements, poser des questions sur les matériaux utilisés, et vérifier que l’agencement correspond à vos exigences. Vous gagnez un partenaire, pas un simple fournisseur. Vous obtenez ainsi des réponses claires et rapides à vos questions. En cas de problème, le fabricant peut intervenir localement sans passer par un service client délocalisé ou une plateforme impersonnelle. Cela rassure également lors des phases d’après-vente ou de maintenance.

Vous profitez d’un SAV réactif

Un camion rôtisserie est un véhicule complexe, souvent utilisé quotidiennement. En cas de panne, le temps d’immobilisation va réduire votre chiffre d’affaires. Le recours à un fabricant français réduit ces risques. La plupart disposent d’un atelier de réparation interne ou d’un réseau de partenaires locaux. Les pièces détachées sont disponibles rapidement, et certains proposent des solutions de remplacement temporaire. Vous restez opérationnel et, dans le pire des cas, l’attente sera courte.

De nombreux fabricants français proposent aussi des contrats d’entretien périodique. Ces contrats permettent de vérifier régulièrement l’état des équipements, de prévenir les pannes et d’allonger la durée de vie de votre outil de travail. Ce suivi préventif s’avère très utile à long terme.

Vous avez un camion rôtisserie sur-mesure

Chaque activité de rôtisserie ambulante a ses propres contraintes. En choisissant un fabricant de camion rôtisserie en France, vous aurez un espace de travail qui est fait pour vous. Nombre de broches, espace de stockage, zones de préparation, accessoires : tout est personnalisable. Vous pouvez aussi travailler le design extérieur : covering, couleurs, logo, typo. Un véhicule personnalisé attire l’attention, facilite la communication visuelle et renforce votre identification sur les marchés et durant les événements locaux. Les fabricants locaux prennent le temps d’écouter vos projets, vos recettes, vos objectifs. Ils peuvent suggérer des agencements plus pratiques, proposer des matériaux plus résistants ou intégrer des solutions éco-responsables. Ce niveau de personnalisation augmente votre confort de travail et votre rentabilité.

Vous soutenez l’économie locale

En faisant appel à un constructeur local, vous soutenez l’emploi dans votre région et la filière du « fabriqué en France ». C’est un argument fort aux yeux des clients, qui cherchent de plus en plus à consommer local et responsable. Sans compter qu’un camion rôtisserie construit en France reflète généralement le sérieux et la qualité. Cette conception peut peser dans la confiance que vous inspirez aux collectivités, aux organisateurs de marchés ou aux consommateurs. Cela renforce aussi votre réputation, notamment si vous communiquez sur cette démarche sur les réseaux sociaux ou votre site internet. Travailler localement, c’est aussi accélérer les échanges, favoriser des livraisons plus courtes, et réduire votre impact environnemental.

Toute procédure de divorce nécessite un avocat

Selon votre entente avec votre conjoint sur les modalités de votre séparation, vous avez le choix entre un divorce par consentement mutuel ou un divorce judiciaire. Dans tous les cas, chacun de vous doit engager son propre avocat.

Lors d’un divorce à l’amiable

Si vous optez pour cette procédure, les missions du professionnel consisteront à :

• Rédiger et vérifier la convention du divorce.
• Vous présenter et expliquer les risques liés à la procédure.
• Détailler les options qui s’offrent à vous et vous indiquer les solutions les plus adaptées.
• Vous donner des conseils éclairés sur les conséquences de la rupture de votre union.
• S’assurer que vos droits soient respectés.
• Vous représenter devant le notaire.
• Coordonner le divorce avec les autres acteurs.
• Vous assister et répondre à vos questions.

Lors d’un divorce contentieux

Ce type de divorce est un peu plus compliqué, car soit vous n’êtes pas d’accord avec votre partenaire sur les effets de votre séparation, soit vous ne vous entendez pas sur le fait de mettre fin à votre mariage. Quoi qu’il en soit, vous devez passer devant le juge. De ce fait, il est essentiel et primordial que vous ayez un avocat à vos côtés. Trouvez ainsi un expert compétent et spécialisé en droit de la famille sur ce site pour vous accompagner efficacement. L’expert a pour missions de :

• Accomplir les démarches administratives.
• Suivre votre dossier et vous informer des décisions du juge.
• Se charger de la rédaction des documents juridiques, tels que l’assignation, la requête du divorce, les plaidoiries, les conventions provisoires et définitives, les conclusions.
• Communiquer vos demandes à l’autre partie.
• Vous représenter devant le juge et avancer vos arguments, lors des audiences et d’autres actes juridiques, comme la conciliation ou les interventions orales.
• Mettre en place des mesures visant à vous protéger si besoin, comme demander une ordonnance de protection si vous subissez des violences conjugales et prévoyez d’entamer un divorce pour faute.
• Vous conseiller sur vos obligations, vos droits et les conséquences de votre séparation.
• Négocier et défendre vos intérêts.

Comment choisir votre avocat ?

Puisque l’avocat est un acteur clé dans votre divorce, veillez à bien le choisir pour être accompagné par un professionnel compétent et pour bien comprendre la procédure à adopter. Pour ce faire, vérifiez :

• Sa spécialisation : pour qu’il puisse assurer efficacement votre défense, il est préférable qu’il soit spécialisé en droit de la famille et en divorce. Il maîtrisera ainsi les complexités de la procédure et se battra pour vos intérêts.
• La confiance qu’il vous inspire : il est essentiel que vous vous sentiez à l’aise avec l’expert, car votre situation est délicate et vos émotions en effervescence. Cet aspect est également nécessaire pour que vous puissiez bien communiquer avec lui et en retour, il vous expliquera avec transparence les enjeux du divorce, vous soutiendra émotionnellement, tiendra compte de vos attentes et alignera sa stratégie en fonction de celles-ci.
• Sa réputation : misez sur un spécialiste ayant gagné en renommée, car cela garantit qu’il a une expérience solide et une connaissance approfondie des lois afin de défendre vos droits comme il se doit.
• Sa réactivité : puisque les termes et les actes juridiques peuvent être un mystère pour vous, un avocat réactif pourra répondre à vos questions et vous éclairer sur les sujets que vous ne comprenez pas. Il pourra aussi accélérer la procédure en gérant bien votre dossier, en vous tenant informé des avancements de votre affaire et en prenant les initiatives vous permettant d’obtenir un résultat favorable.

Avec un bon avocat, le stress que vous éprouverez tout au long de votre divorce sera réduit et vous aurez les conseils et l’expertise dont vous avez besoin.

Comment financer votre divorce ?

Un divorce est coûteux. En plus, s’il est contentieux, les frais à votre charge peuvent être élevés. C’est pourquoi il faut bien vous préparer financièrement avant de vous y lancer. Rassurez-vous, plusieurs solutions sont à votre disposition pour cela. En premier, il y a l’aide juridictionnelle. Elle peut vous être accordée, selon votre revenu fiscal de référence et du patrimoine. Ensuite, il existe des subventions liées à la séparation versées par les organismes, comme la Caisse d’Allocations Familiales ou le Centre Communal d’Action Sociale. Bien évidemment, vous avez aussi la possibilité de demander un prêt personnel auprès de votre banque.

Le titre « Curriculum Vitae » (CV)

Un CV doit être parfait du début jusqu’à la fin. Évitez alors d’utiliser le titre « CV » ou « Curriculum Vitae ». Cela peut décourager le recruteur à vous contacter. Ainsi, il vous est conseillé d’utiliser un vrai titre. Vous pouvez alors remplacer ces termes par l’intitulé du poste que vous souhaitez occuper dans l’entreprise. Cela est valable même si vous envoyez une candidature spontanée.

Les sigles dans le CV

Notez que les recruteurs ne portent pas beaucoup d’attention au CV avec des sigles. En effet, il vaut mieux utiliser le mot « Téléphone » au lieu de « tel ». Cela est aussi valable pour le « e-mail » qui ne doit pas être remplacé par un « @ ». Cela peut finir par brouiller le message que vous souhaitez faire passer auprès du recruteur. Par ailleurs, il est déconseillé d’utiliser des icônes dans le CV.

Les fautes d’orthographe

Un CV avec des fautes d’orthographe a de fortes chances de finir dans la corbeille de chaque recruteur. Certes, vous pouvez postuler pour un poste qui ne demande pas une forte performance écrite. Par contre, il faut faire un effort pour mettre les chances de votre côté. Cela reste un gage de sérieux tout en montrant du respect auprès du recruteur. Vous pouvez demander l’aide d’un ami si vous avez du mal à vous en sortir.

Ajouter de mauvais contacts

Un CV doit généralement contenir des informations vraies, mais aussi claires. Cela permettra au recruteur de vous contacter rapidement pour un éventuel entretien après la réception de votre candidature. De ce fait, vous devez faire attention à ne pas utiliser de mauvais numéros de téléphone. Évitez aussi les adresses e-mail bancales ou familiales. Il ne faut pas non plus utiliser un compte de couple. Vous pouvez parfaitement créer une nouvelle adresse dédiée pour convaincre les recruteurs.

Identifiez vos objectifs

Avant tout, vous devez définir vos objectifs personnels et professionnels. Pour ce faire, vous pouvez réaliser un bilan de compétences. Cette étape vous aide à déterminer vos points forts, vos faiblesses et le genre de métier qui peut vous intéresser. Puis, ajustez vos ambitions en fonction de vos capacités d’investissement.

Par ailleurs, vous ne devez pas oublier que si vous voulez devenir franchisé, vous allez profiter de l’image de marque d’une entreprise et devez exploiter le concept qu’elle a déjà établi.

Évaluez le concept du franchiseur et le secteur d’activité

Plusieurs secteurs d’activité proposent une franchise : le bien-être et la santé, la restauration et le commerce alimentaire, l’éducation et la formation, le BTP et la rénovation, etc. Vous disposez donc d’un large choix.

Pour sélectionner le domaine correspondant à votre budget et en adéquation avec vos aspirations, vous devez :

• Déterminer si le concept du franchiseur est cohérent avec vos aptitudes et vos motivations.
• Voir si votre projet d’être franchisé répond aux besoins actuels du marché dans la région où vous souhaitez vous implanter.
• Analyser les tendances actuelles pour savoir quelle franchise rentable ouvrir. Faites attention aux effets de mode.
• Vous poser les bonnes questions : qu’attendez-vous du métier ? Où pouvez-vous trouver vos marchandises ? Quel rythme souhaitez-vous adopter ? Etc.

Lisez bien le contrat du franchiseur

Que vous choisissiez une franchise rentable dans le secteur de la plomberie, de la restauration ou de la santé, vous devez prendre le temps de bien lire le contrat. Car oui, vous devez choisir votre franchise en fonction du contrat que le franchiseur propose. Voici quelques points que vous pouvez y trouver :

• La durée du contrat,
• Les conditions de son renouvellement,
• Vos obligations et celles du franchiseur,
• Les droits qu’il vous concède,
• Etc.

Vous pouvez faire des bénéfices si, une fois que vous avez déduit vos charges et dépenses, il vous reste encore pas mal d’argent. Pour déterminer si votre franchise va être rentable et viable, vous devez donc également effectuer une analyse financière.

Quelques règles à suivre en cas de rupture de période d’essai

Vous ou votre employeur, pensez que ce poste ne vous convient pas. Vous pouvez mettre fin à la période d’essai à tout moment pendant toute la période, d’où la rupture du contrat de travail. Aucune formalité n’est requise. Les dispositions du contrat de travail ne s’appliquent pas. Cela signifie que les règles de licenciement (procédure, licenciement, raisons vraies et justifiées) ne s’appliquent pas. Cependant, si vous et votre employeur avez un différend à ce sujet, vous pourrez regretter d’avoir mis fin verbalement à la période d’essai. Il est recommandé de notifier la fin de la période d’essai par courrier recommandé avec accusé de réception. Vous pouvez également remettre personnellement l’avis de résiliation avec votre signature et une copie de la date de livraison à votre employeur.

Est-il possible de se faire indemniser ?

Si votre employeur abuse de la période d’essai, vous pouvez être indemnisé en recevant une rémunération. La fin de la période d’essai ne signifie pas le licenciement. Par conséquent, vous ne pouvez obtenir qu’un seul type d’indemnisation : l’indemnité de vacances payée. À la fin de la période d’essai, même si vous n’avez pas le temps de prendre un congé annuel, vous devrez être indemnisé pour un congé payé. C’est le cas des CDD (Contrat à Durée Déterminée). Pour les CDI (Contrat à Durée Indéterminée), vous ne pouvez recevoir une indemnité que lorsque vous avez travaillé dans l’entreprise pendant au moins 10 jours.

Quand publier une annonce légale ?

Si votre entreprise fait partie de celles qui doivent publier des annonces légales, vous devez effectuer cette procédure :

• Lors de la création de votre société,
• Lors de sa reprise,
• Lors des changements affectant son fonctionnement,
• Lors de sa cessation d’activité.

Le risque que vous encourez en tant que dirigeant en cas de non publication d’annonce légale

Si vous êtes à la tête d’une société et que vous ne respectez pas l’obligation de publier des annonces légales, vous risquez des sanctions. On peut vous interdire de diriger une entreprise. C’est le cas si aucun avis n’a été publié lors du remplacement du chef de votre établissement. Le dirigeant sortant reste ici le responsable de la société et vous, vous ne pouvez pas exercer votre nouvelle fonction. Le développement et le fonctionnement de l’entreprise vont être entravés. Les conséquences que cela entraîne peuvent être néfastes.

En somme, ces types problèmes peuvent être évités par la publication d’une annonce légale à chaque événement important relatif à la vie de l’entreprise. Pour que tout soit fait dans les règles de l’art, vous pouvez vous faire assister par des professionnels : ils peuvent vous aider à publier vos avis dans le journal d’annonces légales habilité vous convenant. Rassurez-vous, le service qu’ils proposent est peu coûteux.

En cas d’oubli de publication, votre structure va être exposée à un risque juridique

Pour comprendre le risque qu’encourt votre établissement, il convient de voir de près quelques exemples :

• Si vous envisagez de modifier le statut de votre établissement EURL en SASU, vous devez achever diverses formalités, dont l’une est la publication d’un avis de changement de forme juridique dans un JAL habilité. Si vous oubliez de faire paraître cette annonce, cette modification ne va pas être actée par le greffe de tribunal. Ce dernier exige une attestation de parution de l’avis pour enregistrer le changement de régime fiscal. L’impôt sur le revenu sera appliqué alors que vous comptiez sur l’application d’une imposition sur les sociétés.

• Si vous n’avez pas fait de publication d’avis de constitution lors de la création de votre entreprise, cet acte juridique va être nul. En d’autres termes, cet événement n’est pas reconnu par la loi. Votre structure est considérée comme inexistante et ses activités comme illicites. L’entreprise ne sera pas immatriculée. Votre société va être exposée à des sanctions, comme des dommages et des intérêts à payer.

• Si vous oubliez la publication des annonces légales de dissolution et de liquidation de votre structure, sa radiation ne va pas être effective. Vous pouvez avoir des problèmes avec vos créanciers qui vont réclamer le remboursement de leurs dettes.

• Si vous avez publié une annonce légale erronée, si une faute d’orthographe ou de saisie s’y trouve, l’avis va être rejeté par l’institution qui le réclame. Dans ce cas, vous pouvez émettre un avis rectificatif.

Et normalement, sur tous les sites de production, où que ce soit dans le monde, un œnologue doit être présent. Entre autres fonctions, l’oenologue goûte le vin mais son travail va plus loin que cela. En amont, c’est celui qui élabore les vins et tous les autres produits dérivés du raisin. Il se charge de la vinification, il conseille les viticulteurs quant au choix du cépage et la plantation des vignes. Il veille à ce que les vins en cave soient dans de bonnes conditions de fermentation et il surveille minutieusement cette fermentation. Il est également attentif au traitement et au conditionnement des vins.

Le métier d’un œnologue

Le métier d’un œnologue est complexe. Outre le conditionnement, la mise en fermentation, le traitement des vins, par ailleurs, il fait aussi des recherches et des analyses dans le but d’améliorer les cépages. Puis, selon le site où il exerce son métier, on peut lui demander de se servir des marcs de raisin pour distiller et fabriquer des alcools. Et une fois que les vins sont prêts à la consommation, avant leur commercialisation, il se charge de la dégustation pour s’assurer de la qualité de ceux-ci. Quelquefois, il peut être amené à participer à la commercialisation des vins, soit dans la région ou sur tout le territoire français soit à l’étranger. Le fait est que la concurrence devient de plus en plus rude, pas seulement sur le plan national mais aussi sur le plan international, l’oenologue détient une fonction de plus en plus grande dans le maintien et l’amélioration de la qualité des vins qu’il produit. D’ailleurs, son travail contribue à mettre en avant la viticulture française sur le plan mondial.

Les études ou formations nécessaires pour devenir œnologue

Tous ceux qui souhaitent devenir œnologue doivent absolument posséder un niveau bac+5 pour y parvenir. Il faut aussi détenir le diplôme national d’oenologue ou DNO qui est accessible à ceux qui sont titulaires d’une licence complète en sciences biologiques, en sciences chimiques ou en sciences biochimiques agronomiques. Le DNO est également accessible aux titulaires d’un BTSA viticulture-oenologie + licence Pro ou aux titulaires d’un DUT Génie biologique + licence Pro. Pour se préparer au DNO, il faut compter 2 années d’études, et on peut les faire soit dans le centre universitaire de Dijon, soit celui de Bordeaux, celui de Montpellier, de Reims, de Toulouse ou à Supagro Montpellier. C’est aussi possible de suivre les formations à l’école nationale supérieure d’agronomie de Toulouse. Le métier d’oenologue peut être vraiment passionnant, d’autant plus qu’il est possible d’évoluer vers des postes plus élevés. Par exemple, devenir directeur technique ou directeur de cave, ou encore directeur de coopérative, mais pour accéder à ce dernier poste, il faut une formation supplémentaire en agronomie et d’autres formations solides en économie et en commerce. Mais ceux qui suivent de telles études en communication et en commerce sont recherchés par les producteurs car la vente reste un problème majeur dans ce milieu.

Les cadres de travail

Un œnologue peut travailler dans un laboratoire, pour l’élaboration des vins et pour faire des recherches et d’analyse dans le but de trouver de meilleurs cépages. Il peut aussi exercer sa fonction au sein d’une coopérative, dans les exploitations viticoles, ou encore dans l’enseignement et la recherche. En effet, la transmission de savoir en œnologie permet de perpétuer le métier et d’intéresser les jeunes à cette carrière. S’il professe au sein d’un institut ou d’un laboratoire, c’est souvent pour être un conseiller et en tant que chercheur. Inao par exemple (Institut national de l’origine et de la qualité) recrute des œnologues dans ce but. Il est aussi possible d’exercer au sein des chambres d’agriculture ou des laboratoires de l’Inra ou Institut national de la recherche agronomique. Mais où que travaille un œnologue, son emploi du temps est rarement fixe car il doit s’adapter aux contraintes liés à son travail et aux besoins de la vigne. Par exemple, lors des longues périodes de vendanges, il travaille souvent 7jr/7.

Les principes de l’analyse de la concurrence SEO

En résumé, c’est une méthode d’analyse des autres acteurs d’un domaine (de la concurrence) au niveau de leur classement SEO. L’étude se base donc entièrement sur le site web de la concurrence et sur leur présence en ligne. L’analyse concurrentielle SEO vise à déterminer les points de succès des autres acteurs du secteur dans lequel souhaite entrer le client, afin de mettre en place un plan d’action. Cette stratégie étudie de nombreuses facettes du système SEO de la concurrence :

• Les mots-clés ;
• Les liens (internes/externes) ;
• Le contenu.

Seules des agences web ou un professionnel dans le cybermarketing sont capables de mener à bien un tel projet.

Les avantages d’une analyse concurrentielle SEO

L’analyse de la concurrence SEO est vitale, que vous commenciez une activité ou que vous vous soyez déjà lancé :

La connaissance des autres concurrents

Cette stratégie détient l’avantage de vous en apprendre plus sur les stratégies SEO de vos concurrents et de vous permettre d’identifier vos principaux rivaux. En effet, bien que vous sachiez qui offre les mêmes prestations que vous sur le marché, il n’en est pas toujours de même en ligne. Certaines petites entreprises peuvent être mieux classées que les grandes concurrentes que vous connaissez. D’où l’importance de faire une veille concurrentielle SEO. Gardez en tête l’une des règles les plus importantes du livre, l’art de la guerre : gardez vos amis près de vous et vos ennemis encore plus près.

L’inspiration

L’analyse concurrentielle SEO est surtout bénéfique pour affiner votre plan d’action. Étant donné que vous souhaitez intégrer un domaine et y faire fortune, vous devez vous inspirer en amont de ce que font déjà vos concurrents afin d’augmenter leur visibilité et éviter leurs flops. Le but est de pouvoir mettre en place une stratégie webmarketing qui supplantera celles de vos rivaux. Vous verrez également qu’en optant pour une analyse de la concurrence SEO, vous trouverez facilement de l’inspiration pour attirer les clients vers votre site.

La connaissance des faiblesses de votre projet

L’analyse concurrentielle SEO est également un bon moyen de faire l’état de votre projet : est-ce viable ou non compte tenu de la concurrence actuelle ? Ainsi, vous pourrez prendre les décisions qui s’imposent :

• continuez avec votre stratégie webmarketing ou marketing digital actuelle ;
• demandez de l’aide afin de mettre en place une stratégie marketing & communication en adéquation avec les résultats ;
• stoppez le projet.

L’amélioration continue

Sachez qu’une veille concurrentielle SEO n’est pas seulement réservée aux start-ups qui débutent. Les entreprises qui dominent le secteur utilisent aussi cette méthode pour rester dans le top 3. Avec une concurrence qui devient de plus en plus rude, il est vital pour les grandes entreprises de ne pas se laisser aller, au risque de se voir reléguer au dernier rang. Il n’est donc plus rare de retrouver un département au sein de ces entreprises qui s’occupent exclusivement de cette tâche. Une mission d’une importance capitale étant donné que l’algorithme Google est changeant.

Les étapes d’une analyse de concurrence SEO

Une analyse de concurrence SEO avant le lancement d’une startup se divise en 4 parties :

L’analyse des mots-clés

Les mots-clés sont une part importante du succès d’un site web sur les moteurs de recherche. Pour être capable de générer un trafic vers votre site Internet, l’analyse concurrentielle SEO va faire en sorte de :

• rechercher les mots-clés utilisés par vos concurrents ;
• déterminer leur complexité et le taux d’utilisation par les clients ;
• trier les mots-clés selon leurs classements sur les moteurs de recherche.

Ces données vont permettre de sortir des résultats significatifs et quantitatifs qu’il suffira d’exploiter pour générer une suite de mots-clés n’ayant pas encore été exploités par la concurrence. Au final, vous obtiendrez un vivier de mots-clés pertinents que vous pourrez utiliser pour votre site web et accéder à un bon classement. Bien entendu, si les résultats d’analyse de la concurrence offrent une liste de mots-clés à forte exploitation pour votre domaine, n’hésitez pas à les utiliser.

À partir de là, des outils peuvent également vous permettre de trouver des mots-clés en rapport avec votre secteur d’activités :

• Google Keyword Planner qui est totalement gratuit ;
• SE Ranking ;
• WebCEO.

L’analyse du contenu

Plus un contenu est unique, plus les clients sont tentés de le lire. La problématique actuelle sur Google réside dans le fait que quasiment tous les contenus se ressemblent (à quelques phrases près). La mise en œuvre d’une analyse concurrentielle SEO est donc une alternative aux contenus duplicata. Grâce à cette stratégie, vous aurez des données sur :

• le type de sujet que traitent vos concurrents ;
• les thématiques les plus récurrentes ;
• les thématiques qui plaisent aux clients/visiteurs ;
• les moins attractives.

En vous basant sur ces paramètres, il s’agira de créer un contenu qui réponde aux besoins des clients/visiteurs et qui vous permettra d’obtenir une meilleure classification SEO. Ainsi, vous pouvez même créer votre propre stratégie de contenu.

L’analyse des écarts de liens

C’est l’une des étapes les plus difficiles d’une analyse de concurrence SEO. Il s’agira de déterminer :

• le nombre moyen de liens que vos concurrents placent dans leurs contenus ;
• leur qualité par rapport aux recherches clients ;
• leur pertinence ;
• leur nature : interne/externe.

Plus les liens sont espacés et pertinents, mieux le site est classé sur les moteurs de recherche. Pour trouver rapidement les backlinks de vos rivaux, consultez les méthodes proposées sur des sites spécialisés. Divers outils et solutions vous y seront détaillés pour vous aider à mieux analyser les écarts de liens de vos entreprises rivales.

L’analyse des images/vidéos

C’est un point souvent négligé dans le cadre des analyses concurrentielles SEO, mais qui pourtant détient son importance. Il s’agit de l’analyse :

• des types d’images et vidéos utilisées par les concurrents comme support visuels ;
• leur nombre ;
• leurs types et leurs poids ;
• leur pertinence.

Il faut garder en tête que les webnautes comprennent mieux avec des images et/ou des vidéos à l’appui. Cette stratégie d’analyse vous permettra donc de déterminer les meilleures photos à mettre en avant sur vos sites, leurs formats et même leurs poids afin de ne pas causer un « bug » ou une lenteur.

1. L’informatique

Dans le système de portage salarial, ce sont surtout les professionnels dans le secteur des NTIC (Nouvelles technologies de l’informatique et des télécommunications) qui s’épanouissent les mieux. En effet, avec le statut de salariés portés, ils peuvent profiter de conditions de travail plus avantageuses en tant que salarié.

Par ailleurs, ils ont plus de possibilités de s’adapter aux exigences du métier.

2. L’immobilier

Les négociateurs et les commerciaux en immobilier se voient souvent comme des agents commerciaux. Leur statut est fragile en raison d’un manque de protection sociale. Comme quoi, une entreprise de portage salarial est donc un lieu refuge où ces professionnels peuvent bénéficier des avantages d’un salarié, d’une attestation ainsi que d’une carte professionnelle.

Ceci leur permet d’accomplir leurs missions en toute tranquillité sans trop de contraintes.

3. Les ressources humaines

Ces professionnels sont souvent appelés pour régulariser les nombreux problèmes liés aux RH. Les missions proposées sont idéales pour un consultant en Ressources Humaines ou en management de transition.

Étant des personnes externes neutres, les responsables en RH sont amenés à intervenir par exemple dans le recrutement, le licenciement, la gestion de conflits ou la réorganisation.

4. Le marketing et la communication

Avec le développement fulgurant de nouvelles technologies et des nouveaux besoins liés au numérique, de plus en plus d’indépendants se tournent vers ces secteurs en pleine évolution.

Ces dernières décennies, les métiers du marketing et de la communication se sont diversifiés. Ces secteurs regroupent divers talents, à savoir des contents managers, des sociaux médias managers, des datas analystes ou encore des développeurs d’applications.

5. La finance

Le secteur de la finance concerne ici le consultant comptable et financier ainsi que le manager de transition. Ces professionnels sont souvent appelés pour des missions spécifiques aux sociétés clientes.

Leurs tâches peuvent s’agir de la supervision des opérations de fusion-acquisition, de l’adaptation de la stratégie commerciale ou encore le redressement des comptes.